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Chapitre 33 : Vérité et pardon

— Oui, oui, oui, souffla Katia. Cousine. Croyez-moi, cela ne m'enchante guère, je déteste tout ce qui peut se rattacher aux Dandelions. Quand j'ai dû faire affaire à son frère… 

 

Elle eut un frisson de dégoût quand elle repensa à lui mais continua : 

— Ne parlons pas de lui. Voyant vos regards surpris, vous vous demandez peut-être ce je viens de faire à dame Morganna ? 

 

Ils acquiescèrent à l'unisson ce qui fit encore souffler Katia. 

— Disons juste qu'elle dort. Je lui ai administré un sédatif. 

 

— Vous comptez la tuer ? demanda subitement Mylon. 

 

Il eut le droit avant sa réponse à un regard jugeur de Katia qui répondit enfin : 

— Non, Damné, ce n'est pas le souhait de mon employeur. Pour lui, tout talent est source de distractions et la considère comme précieuse. Nous la retiendrons juste en détention pendant un moment en guise de punition. Oh, et pourquoi ne pas la soigner qu'à moitié ? Ce serait drôle de voir une femme aussi hautaine marqué à vie par une Dandelion ! 

 

Eeeeeh, pensèrent étrangement en même temps Mylon et Ada. Encore une qui a l'air spéciale…  

 

Katia se perdit dans ses pensées en imaginant toutes sortes de punitions mais revint à elle pour continuer : 

— Bon, je vais l'emmener avec les deux mercenaires. Tu m'as l'air dans un sale état Adamantine. Je reviendrais te chercher pour l'interrogatoire demain, une fois bien reposée… 

 

— Uuuuh, hésita perdu Adamantine. Sais-tu, savez-vous où me tr- 

 

— Auberge 5 rue d'Alanor, chambre pour deux personnes et numéro 14. Demain, dix heures du matin. Si tu n'y es pas, alors nous mettrons un avis de recherche sur toi. 

 

Les mâchoires d'Ada et Mylon se décrochèrent et les deux échangèrent un regard. Toutefois, ce fut Marlène qui s'exprima : 

— Woaaaa, vous avez des yeux partout ! Vous êtes une sorte d'être omnipotent ? 

 

Cette remarque fit rire légèrement Katia qui lui indiqua : 

— Tu es bien drôle ma chère ! C'est un peu ça mais je ne suis pas une déité. Nous avons en effet sous notre aile des gladiateurs que l'on paye pour nous rapporter tout ce qu'il y a d'inhabituel, comme une noble qui entre en ville par exemple. L'information est la clef de la victoire et nous permet d'arrêter les criminels et trouble-fais avant qu'ils n'agissent. 

Enfin, certains sont assez intelligents pour passer entre les mailles du filet. Comme ce Pantin et ce deuxième inconnu…  

 

Katia s'excusa, remit le sac avec la somme promise à Mésandre et prit enfin la direction du palais avec les deux gladiateurs. Remarquant mieux l'arme accroché au dos de la femme, Marlène s'exclama : 

— Ah bah tiens ! Ce serait pas comme ces trucs qu'on a trouvé au complexe Eldo, Elva-truc ? 

 

— Maintenant que tu le dis, rétorqua Mylon. Ça y ressemble. 

 

— C'est quoi ça l'Elvado-truc ? demanda Annie. 

 

— Ah, s'écria Marlène. C'est vrai que j'ai raconté nos aventures à Roxanne mais pas à toi. Si ça t'intéresse, je peux te les narrer ! Par contre, au vu du temps que ça va prendre, on devrait aller s'asseoir à l'intérieur. 

 

Elle la tira alors du bras comme si de rien n'était, comme s'ils n'avaient pas tous faillis mourir ou se faire prendre en otage par uen sorcière des plus diaboliquement spéciale. Mylon en eu des yeux de merlans fris pendant qu'Ada lui intimait : 

— C'est notre Marlène ça... Dit, tu crois que c'est à cause de nous ? On l'aurait si désensibilisé que ça aux événements traumatiques lors de notre voyage ? 

 

— Alors là ! Bonne question… 

 

 

Roxanne les avaient suivis et ne restait plus qu'avec nos deux héros, Mésandre et Orelia. Remarquant leur regard insistant, Mylon lâcha l'épaule d'Adamantine pour leur faire face. C'est alors que Mésandre les interpela souriante : 

— Tout est bien qui finit bien ! C'est certainement grâce à la volonté des déesses mais aussi à vous, ma chère Adamantine. Je-je pense que cet argent vous revient de droit. Cela pourra rembourser celui que vous nous avez si gentiment offert pour les rénovations. 

 

— Je-je ne peux pas acceptée ! contredit-elle. Je n'ai fait que- 

 

— Pourrait-on se rendre dans votre bureau avant tout ça ? coupa Mylon. Je-, non, nous avons une confession à vous faire. 

 

Ada le regarda donc et comprit directement quand il acquiesça d'un signe de tête. Quant à Mésandre, elle accepta mais fut étonnée d'une telle demande, surtout quand il demanda la présence de toutes les autres nonnes. C'est ainsi qu'ils se réunirent tous dans le bureau de Mésandre. Celle-ci s'assit sur sa chaise et fit face aux deux avec les autres Soeurs. Adamantine, elle, se mit sur le côté. C'était le choix de Mylon, pas le sien. Bien qu'en fait, en ne révélant pas la vérité, elle avait sa part de responsabilité dans cette histoire… 

— Alors, que voulais tu nous dire jeune Mylon ? demanda la plus vieille des sœurs. 

 

— Eh bien, je vous ai caché quelque chose depuis le début. Je-je suis le fautif, c'est ma faute si le couvent de Lumare fut détruit par Mitra… 

 

— Comment ?! 

 

Mésandre sursauta de surprise face à la nouvelle et continua : 

— Mais tu m'avais dit que Mitra av- 

 

C'est alors que celui retira son cache-oeil puis son gant, arrachant ainsi des regards surpris aux Soeurs. Corelia, la plus petite se couvrit la bouche, Jeanne ajusta ses lunettes pour mieux l'étudier, Orelia regarda tout le monde avec un air béat, ne comprenant pas de quoi il s'agissait et Mésandre, elle, prit une expression des plus grave. 

— Je- 

 

— Tu fais partis de la race des démons, le coupa Mésandre. Je vois, tout prend sens désormais… 

 

— Vraiment ? demanda perdu Orelia. Pourtant, on dirait plus une sorte de propagation, comme une maladie qui se propagerait. 

 

— Détrompe toi, lui intima Jeanne. Ces écailles sont bien la particularité des démons, des Ryumas plus précisément. Mais c'est vrai que le fait qu'il n'y en ait que sur la moitié de son corps est très étrange. 

 

— M-mon pauvre, bégaya Corelia. Cela n'a pas dut être facile… Tu es sûr que tu ne ferais pas partis des dragonoïdes ? Ils ont aussi des écailles dans leur formes hybride… 

 

— Non, ce n'est pas ça, informa Mésandre. Elles seraient rouges et non grise dans ce cas… 

 

— Mais hybride est le bon terme, continua Mylon. Je-C'est parce que Soeur Lizbeth voulut me protéger des membres de Mitra que le couvent de Lumare a été détruit. C'est aussi pour cette raison que cette sorcière a voulu s'en prendre à moi… Dé-Je suis désolé, mon existence n'a fait que causer du mal à vous et les autres. 

 

Il s'inclina devant elle avec un sentiment de culpabilité. La pièce tomba dans le silence, un silence lourd. Les Soeurs eurent un regard fuyant sauf Mésandre qui le fixait. Derrière ce visage impassible, Mylon ne put savoir ce qu'elle pensait. Lui-même stressé et avec un sentiment de culpabilité, il continua : 

— Je-je veux vraiment me faire pardonner, je ferais ce que vous voulez, accepterais n'importe quel châtiment. 

 

— Qu'en pensez-vous mes Soeurs ? demanda alors Mésandre de sa voix roque. 

 

— Hmm, marmonna Jeanne. Lumis, la porte parole de Stella que nous suivons, prônait que la déesse voyait chaque espèce comme égale. Pour moi, les démons ont tout autant le droit de vivre qu'un humain. Je ne vois pas de mal à son existence… 

 

— M-mais, bégaya Corelia. Si le c-couvent de Lumare s'est fait détruire pour l'avoir caché, n'arrivera-t-il pas la même chose pour nous ? Je veux bien prôner la parole de Lumis mais nous avons p-pour devoir de protéger les enfants avant ça. 

 

— Boh, pouffa Orelia. Si on raconte qu'on le prenait pour un Damné, ça passe non ? 

 

— M-mais cette sorcière risque de revenir ! objecta Corelia. Vous n'avez pas vu la destruction qu'elle pouvait engendrer ?! 

 

Toutefois, Adamantine intervint dans la discussion en claquant sa botte métallique au sol pour s'imposer : 

— Hum, en ce qui concerne cette Morganna, elle ne pourra ni revenir, ni dévoiler la vérité. Juste avant notre duel, j'ai utilisé son ego pour la manipuler et réaliser un pacte du sang. Si je me rappelle bien, de ce que j'ai lu dans les livres et au vu des marques qui apparaissaient sur son corps, elle s'en retrouvera obligé d'obéir aux conditions que je lui ai imposé. 

 

— Cela règle déjà ce problème... s'exclama enfin Mésandre. Toutefois, je voulais te dire une chose brave jeune homme. 

 

Mylon se releva à cette mention pour regarder la vieille nonne. 

— Sache que rien n'est de ta faute. Ce ne sont que les imperfections de l'homme, la peur, la haine, la bêtise, l'avarice, l'aveuglement qui ont conduit à cette situation. Soeur Lizbeth devait très bien savoir ce qu'elle faisait et ce qui pouvait en résulter mais elle a écouté sa foi, son coeur, pour protéger un enfant considéré comme un monstre pour les autres. Si tu veux vraiment te faire pardonner alors honore sa mémoire, propage la bonté et la générosité qu'elle t'a offerte. Tu m'avais déjà fait cette demande, celle de nous aider mais ma demande concerne le monde en général. 

 

— Ma-mais je- 

 

— Oh ne t'inquiètes pas, ce n'est pas tout ! Pour nous avoir caché la vérité, on va te faire travailler d'arrache pieds ! Je vois très bien que de simples paroles ne suffiront pas à ce que tu te sentes mieux alors voilà ma proposition : tu vas devoir travailler tous les jours ici jusqu'à ce que le couvent soit enfin sur pieds ! Ça te va ? 

 

Il réfléchit alors un instant, la larme à l'œil avant de l'essuyer et de répondre : 

— Oui, merci, merci ! 

 

— Et vous les filles, ça vous va ? 

 

— Bah, depuis le début ça me va ! répondit Orelia. 

 

— C'est une punition bien adéquate, commenta Jeanne. 

 

— Hein mais ? bégaya Corelia. M-m-mais et la guerre ? Ne nous somme pas en guerre contre les démons ? Ce serait un acte de trahison de- 

 

— Corelia ! rouspéta Mésandre. Ce jeune homme est déjà dans une bien piètre situation et comme Lumis nous l'a appris, nous serons compréhensives. Comment te sentirais tu si tu étais toi aussi à la limite des deux espèces, à la fois humain et démon ? Pourrais-tu choisir un côté ? Ne te sentirais pas tu étrangère des deux espèces et seul ? 

 

— Je-je ne sais pas madame. Je veux seulement assuré l'avenir des enfants… 

 

— Et nous le ferons en suivant les paroles de Lumis, continua Mésandre. En acceptant son prochain qu'importe l'espèce à laquelle il appartient. Ce jeune homme a été élevé, même si ce n'est que peu, par une de nos Soeur et celons nos principes,. Nous nous devons quand même de l'aider. 

 

— Je- d'accord madame, comme vous le voudrez. Tant qu'on ne le prend que pour un Damné, tout devrait aller… 

 

— Et bien voilà qui est décidé ! s'exclama Mésandre. Je te remercie de nous avoir fait part de la vérité jeune homme et je peux comprendre pourquoi tu nous l'as caché… Toutefois, saches que du mensonge ne né que drame. 

 

Mylon s'inclina une fois de plus et Adamantine revint alors à ses côtés. Posant une main sur son épaule, elle lui donna un sourire emplit de sympathie qui fit réagir Jeanne : 

— Au fait Dame Adamantine, nécessitez-vous des soins ? Après tout ça… 

 

— Je veux bien si ça ne vous dérange pas ! clama d'embarra la chevaleresse. Marlène s'est occupé des blessures les plus graves mais il me reste des bleus, des égratignures et quelque brûlures… 

 

— Oh mais vous auriez dû me le dire plus tôt ! 

 

Jeanne s'empressa de venir à son chevet pour chanter un sort de soin. Pendant ce temps, Mésandre regarda l'horloge et s'exclama : 

— Dix-sept heures, déjà ? Il se fait bien tard, nous devrions peut-être retourner auprès des enfants… 

 

Mylon surprit en y repensant, s'exclama : 

— Mais attendez, en parlant d'eux… Si vous êtes là, qui est-ce qui les surveille ?! 

 

— Ah ça, intervint Orelia. Votre amie Marlène est vraiment quelque chose… 

 

— Quoi ?! 

 

À l'étage du dessous, dans la salle commune où mangeaient en général les enfants et y jouaient en cas de mauvais temps, beaucoup s'étaient rassemblé autour de Marlène et Roxanne tandis que certains restaient à part, entre eux. Mais pourquoi un tel attroupement ? Eh bien, la jeune fille s'était mise à raconter ses aventures et ce, bien avant que les Soeurs ne montent en haut. Jeanne l'avait donc laissé faire voyant comment ils étaient calmes. 

— […] et là, alors que nous nous croyons sortis d'affaire, des restes de l'homme de métal géant sortis un tout petit homme métalique ! Personne n'avait eu le temps de réagir, tous sauf grand-frère qui se mit dans la trajectoire et […] 

 

— M-mais-mais comment est-il encore vivant alors ?! demanda avec intérêt Annie qui était au premier rang. 

 

Marlène fit alors signe de tête à Roxanne qui jouait la morte. La petite aventurière fit apparaître dans ses mains un oiseau de pierre et continua : 

— Ehe, et bien c'est là qu'un Caladrius est apparu de nulle part, volant au-dessus du trou béant. 

 

Elle fit passer l'oiseau de îerre au-dessus de Roxanne qui commença à ouvrir les yeux et se relever. 

 

— Cet oiseau mythique frappa des ailes en nous léguant plusieurs de ses plumes qui nous soignèrent instantanément ! 

 

Elle continua ainsi ses histoires et au bout d'un moment, Jeanne revint accompagnée de Mylon, de nouveaux équipé de son gant et cache-oeil, et d'Adamantine. Nos deux jeunes héros assistèrent surpris à la scène mais c'est alors qu'ils entendirent une jeune fille prononcer : 

— Mais alors, au niveau romantique, que s'est-il passé ? 

 

— Ehehehehe, ria malicieusement Marlène. Votre aventurière préférer a joué aussi les cupidons ! Un jour qu'ils étaient tous deux dans les pommes, j'en ai profité pour… 

 

— Stop ! Stop, stop, stop !! s'écria Adamantine qui se précipita vers Marlène. 

 

La chevaleresse l'attrapa alors en lui couvant la bouche puis bafouilla toute rouge : 

— On arrête tout maintenant ! C'est de l'ordre du privé, comprit petite chipie ?! 

 

Marlène se débattit tant bien que mal mais ne put se libérer de sa prise. On put voir qu'elle essayait de crier mais c'était incompréhensible. Jeanne s'interposa ainsi et proclama : 

— Allez les enfants, la dame à raison ! Il est temps de retourner à nos activités, aller ! 

 

Ils s'exécutèrent tous et Adamantine relâcha Marlène. Après des au revoir, la fillette retourna chez elle accompagnée de sa mère qui vint la chercher. Vint alors aussi au tour de Mylon et Adamantine de retourner à leur auberge. Sur le chemin, l'état de la jeune femme attirait le regard des passants. C'est à dire qu'elle ne portait plus qu'une partie d'armure au niveau des jambes car son haut d'armure fut détruit par les attaques de Morganna. Seule sa combinaison de tissus noire, elle-même déchirée, recouvrait son buste. C'est ainsi que Mylon lui dit : 

— Eh bien, on dirait que tout le monde apprécie ton style guerrière ! 

 

— Quoi ? rougit-elle. Non, je pense plutôt que c'est une sorte de curiosité… 

 

— En tout cas, moi j'adore ! Tu es ma preuses chevaleresse, ma sauveuse, merci encore… 

 

— Tu adores, vraiment ? Si c'est le cas, alors pourquoi ne pas jouer la princesse et porter une robe ? 

 

— Aaa-ah, euuuuuh. Alors, non maaaais… Si tu en as vraiment envie, pourquoi… pas ? S'il le faut pour m'excuser et me faire pardonner. 

 

— Je plaisante voyons ! ria Adamantine. Tu n'en as pas besoin ! Tu aurais fait la même chose pour moi et tu l'as déjà fait au cours de nos aventures. 

 

— C'est vrai, avoua-t-il. J'essaierais de ne plus rien te cacher par le futur… 

 

— J'espère ! se vexa-t-elle. J'ai dû me démener pour tout résoudre à cause de toi et maintenant j'ai un interrogatoire sur le dos en plus de ça… 

 

C'est alors qu'il remarqua qu'Adamantine portait le collier qu'il lui avait offert. Il en rougit puis se mit à lui tenir la main. 

— Eh bien, que dis-tu d'un massage alors, une fois rentrés ? Je n'en ai jamais donné mais tu le mérite bien ! 

 

— A-a-eah, p-pourquoi pas ? répondit-elle d'un ton aigu. Je-je n'en ai jamais reçu non plus et après tant d'exercice… Oui, oui, j'en veux bien un ! 

 

Ils s'étaient ainsi un peu plus rapprochés. Était-ce le fait que l'un faillit perdre l'autre ? Mais aussi le fait qu'Ada l'ai défendu d'une telle manière face à cette dangereuse femme ? Certainement mais plus le temps passait, plus chacun se retrouvait attaché à l'autre et plus la rupture allait s'annoncer douloureuse mais ils n'y pensaient pas pour le moment et profitaient simplement du temps à leur disposition. Toutefois, ils ne remarquèrent pas en rentrant un individu particulier, un individu qui connaissait bien Adamantine. Il s'exclama alors à l'homme à côté de lui : 

— Et bien, elle a l'air de bien s'amuser à ce que je vois et ça, après son échec. Quelle immondice, elle qui avait fait le vœu de n'avoir aucune relation… Traîner avec cet insecte, ce déchet de Damné ! J'en parlerais à père. 

 

— Devrais-je essayer de trouver une ouverture pour- 

 

— Non, X. Je veux la confronter au bal et puis, la première tentative a raté, je préfère ne pas causer plus de problème avec la famille Valkyar. 

Message de l'auteur : 

Hello ! Si vous suivez Fantasia et qu'il n'y a pas d'autres chapitres qui sortent, c'est que je fais une pause. Techniquement, la suite est presque prête mais il faut que je la corrige et je n'ai pas encore terminé le volume 2. J'avais déjà pas mal de chapitre ce qui m'a poussé à les sortir. Si jamais vous êtes impatient de lire la suite et que je n'ai toujours rien posté, vous pouvez me laisser un commentaire ! Ca m'obligera à me bouger les fesses on va dire XD.