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Chapitre 6- Odeur de sang

Une odeur de sang frôle mon nez, j'ouvre légèrement les yeux, j'essaie de me dégager, mais mes points étaient attachés par des chaînes menottées, je regarde autour de moi, une table en face de moi, mais un peu plus loin, des ossements étaient disposés aux quatre coins de la table et mes yeux écarquillés ; je vois Jiyu allongée sur cette même table enchaînée, du sang coulé à chaque recoin.

- Jiyu ! Jiyu !

- Cipher...? Elle avait un visage pâle.

- la ferme. Une voix inconnue résonne.

Un homme, grand 1m70 apparaît, il avait environ 47 ans, il avait des vêtements abîmés qui étaient raccommodés plusieurs fois, il s'approchait de la table où elle était, il tourne autour en chantonnant, un autre homme entre dans la pièce. Il était un peu plus jeune, une veste de chantier ainsi qu'un vieux pantalon.

- elle n'est toujours pas morte chef ?

- non et c'est vraiment relou.

Un rire s'entend dans la pièce, les hommes restent sans voix et moi aussi, Jiyu est morte de rire soudain elle affiche un sourire rempli de folie.

- franchement... Tousse t'es vraiment con... Tousse, franchement, faut être une merde pour... Tousse, ne pas comprendre le mot immortel. Elle avait un sourire de psychopathe.

- Jiyu, s'il te plaît, ne dis plus rien. J'étais paniqué, ne t'inquiètes pas, je vais te sauver. Je commençais à avoir une forte respiration.

- tu vas la sauver ? Laisse-moi rire. Il sourit hey garde ce petit bâtard à l'œil. Fait un signe de la tête

- comme vous voulez, chef.

Son subalterne, s'approche, il avait un sourire narquois, je le regardais avec toute la haine qui venait de mes tripes, il me tire les cheveux et approchait ma tête.

- on dirait que t'es énervé gamin.

- je vais te tuer toi et ton chef de merde.

- avant d'essayer de nous tuer, tu devrais essayer de te libérer.

Je lui crache au visage et ce dernier s'énerve puis me plaque la tête forte contre la grille, sa voix devient grave et ses yeux se mirent à changer de couleur.

- sale, petit bâtard, je vais t'étriper  vivant ! Il commence à me cogner la tête plusieurs fois, je vais te buter ! Tu crois que tu peux parler juste parce que tu as la liberté ! Petit bâtard de ta race !

- hey ! Calme-toi, on a d'autres moyens pour le tuer.

Il me lâche, je souris ce qu'y l'énerve encore plus, l'autre homme, s'avance vers une table couverte par un drap, il le retire, plusieurs armes étaient disposés, couteaux, haches, scies, etc., il se remet à chantonner en regardant les armes et ses doigts étaient prêts à prendre une arme. Il s'arrête de chanter puis il sort une arme, c'était un couteau de boucher, il passe légèrement son doigt sur la lame, du sang coulé, il sourit et s'avance devant le clébard, son bras droit était attaché entre deux plaquettes en bois, il lève son bras et tranche d'un coup sec, aucun cri ne put s'entendre dans cette pièce, juste celui des gouttes de sang sur la lame, l'homme lui avait un visage non satisfait.

- c'est énervant, je t'ai bien tranché le bras, j'ai senti la lame traversée ta chair et couper ton os, mais il est bien là, en plus aucun bras au sol.

La rage montait en moi, la seule chose que je voulais c'était le tuer, il fait le tour de la table pour ce mettre en face de sa jambe gauche, il retranche d'un coup net mais toujours aucun bruit, elle s'efforçait de ce retenir à ne pas exprimer la moindre douleur, son couteau de boucher était restée plantée sur la table, la jambe était sectionnée, prend la jambe découpée mais elle disparut en un battement de cils. Il regarde sa main, mais aucune jambe n'y était, il tourne sa tête vers elle puis il commence à marmonner quelque chose de plus en plus fort.

- marmonne, je vais te tuer ! Je vais te tuer ! Je vais te tuer, il prend son couteau, tu vas crever putain !

Il commence à ce déchaîné sur son corps en la plantant un nombre incalculable de fois, son collègue quant à lui me retenait pour pas que j'essaie de m'échapper, il rigoler de cette situation, du sang coulé de toute la table, les bruits de sa chair découpées, ses os brisé, tout s'entendait, Jiyu ne hurlait pas, elle prenait sur elle, soudain de vieux brique de souvenirs refont surface, un corps au sol ainsi qu'une flaque de sang.

Tu vas le laisser faire ? Tu voulais la protéger, n'est-ce pas ?

J'attends une voix, elle était si familière, je ferme les yeux, mais mes fragments de souvenirs continuent à remonter.

PERSONNE NE S'APPROCHE D'ELLE.

JE VAIS.

JE VAIS.

JE VAIS LES TUER.

- CRÈVE...

- hein ?

Le chef arrête son carnage et se retourne, il entend un bruit puis baisse les yeux, sa tête était arrachée de son corps alors que l'autre avait un bras arraché et un trou dans le corps.Mes cheveux en batail blond étaient couverts de sang, j'en avais aussi sur les mains , mon gilet ainsi que mon t-shirt était imbibée de sang , j'avais des oreilles de chat qui étaient apparues sur ma tête, mes yeux jaunes avaient des pupilles de chat, une queue était apparue, je balance la tête au loin pour pas qu'il la recolle à son corps, je m'approche de la table, je prend les chaînes puis les casses, elle était allongée sur la table complètement fatiguée, c'est cheveux noir en bataille cachée légèrement son visage, elle ouvre les yeux, il était d'un jaune orangé si beau qu'on penserait voir des yeux de loup, je m' accroupi.

- le clébard, ça va ?

- non, j'aurais voulu avoir des courbatures.

- j'imagine, je me lève. Bon allez, on rentre.

- j'ai mal partout, on ne peut pas faire une pause. 

- prends ton gun et tue, ce sont deux malades.

- quoi ? Mais j'ai mal partout.

Je la prends dans mes bras et on récupère son arme sur la table, elle le prend avec difficulté puis tire en pleine tête des deux fous. On marche dans le bâtiment pendant 15 bonnes minutes, Jiyu descend de mes bras et commence à marcher.

- je vais beaucoup mieux. Dit elle et s'étire du coup faut que l'on sorte de là.

- oui, mais comment ? On marche depuis un moment déjà.

- on continue, on trouvera bien la sortie.

On marchaient de salle en salle, je ne voyais aucun porte autour de moi, on continue quand une porte ce dresse devant nous, c'était une porte de sortie de secours, je l'ouvre et rentre à l'intérieur, on était dans une pièce qui ressemblait à une sorte de salle de réunion, il y avait une autre porte à l'autre bout, on s'avance Jiyu ouvre la porte soudain la porte de sécurité s'ouvre et laisse apparaître une trentaine de personnes, c'était tous des démons, je casse une chaise et puis je récupère un morceau, je me met devant Jiyu.

- Cipher ? 

- part devant.

- d'accord, mais ne te fait pas exploser.

- je ne peux rien te promettre.

Les démons commencent à rigoler et nous menaçaient, elle ouvre la porte derrière au moment où la porte se ferme, je l'interpelle.

- attends avant de partir, tu me laisses carte blanche.

Un sourire pouvait se sentir au son de sa voix.

- Tu n'as pas besoin de mon autorisation. 

Je l'entends courir, je reprends mon air sérieux puis les fixe avec un regard noir, ils continuent à rigoler et l'un d'entre eux pris la parole.

- Tu as carte blanche ! Sérieux qu'est-ce que tu vas faire ! Nous jeter tes morceaux de bois ?

Je tapote mon pied contre le sol, pendant un moment, les hommes ne comprennent pas et me regardent avec un visage neutre, je m'arrête un moment et relève la tête avec un sourire de fou.

 -je vais tout vous tuer !

Je tend le morceau de bois devant eux, je me penche légèrement puis je cours en leur direction, je frappe un première homme, j'étais en pleine euphorie, je m'amusais tellement de pouvoir tous les tuer, qu'eux je mis à rigoler, ils essaient de m'attaquer en même temps mais impossible pour eux de e toucher, j'arrivais à les esquiver tellement facilement que ça me faisait rire de plus en plus, je continue mon massacre, des démons étaient coupés en deux, d'autres avaient perdus des membres, après quelques minutes ils étaient tous par terre, j'étais si dégoûté, j'avais envie de m'amuser encore un peu mais bon je sors de la pièce, j'étais maintenant dans une entrée puis mon téléphone vibre, c'était Jiyu.

Je suis tombée sur Makoto, elle était avec Yuri et Kill, rentre discrètement à la maison et va te laver.

Je luis répond et je me mets en route direction la maison, je déambule dans les rues, les passants évitent tout contact visuel ou physique avec moi, certains changer de direction, une heure après j'arrive à la maison, j'allume mon téléphone et regarde l'heure, il était 19h45, je me dirige vers une vielle grange à côté de la maison, je fais le tour, il y avait un vieux robinet et un seau d'eau, j'ouvre l'eau puis joint mes mains pour me laver le visage et essayer d'enlever le sang sur mes vêtements, une fois terminé, je rentre dans le ranch, je me dirige dans la cuisine, il y avait une assiette dans le microonde, je mange et je vais dans la salle de bain prendre une bonne douche et au lit.

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