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Chapitre 16

"Tu peux être mon assistante personnelle, belle-sœur. Occupant-toi de tous mes besoins quotidiens," Vernon s'est penché lentement, a murmuré à son oreille, comme le diable chantant son charme, "Surtout au lit."

Le souffle de Chloé se raidit. Elle baissa encore plus la tête, se recroquevillant presque à ce point, parce qu'elle voulait éviter les lèvres de Vernon qui étaient si près de son oreille et de sa nuque.

Elle n'était pas sûre d'avoir bien entendu, ou peut-être que son esprit lui jouait des tours. Parce qu'elle venait d'entendre Vernon murmurer qu'il voulait qu'elle soit son assistante personnelle, s'occuper de ses besoins quotidiens… surtout au lit.

'Cela signifie qu'il veut que je...' Chloé chassa immédiatement la pensée. 'Non, non ! C'est simplement ridicule ! Comment pourrait-il —ah, il devait plaisanter.'

Chloé trouvait cependant la plaisanterie déplacée. Ils étaient techniquement encore beaux-frères malgré qu'elle se soit déjà séparée de Vincent. Même après avoir obtenu le divorce qu'elle voulait, ne serait-ce pas étrange de plaisanter ?

'Peut-être que je suis trop vieille pour cette plaisanterie grossière', pensa Chloé. Mais elle était celle qui avait besoin du travail, alors elle devait faire avec.

"A—Ahahah… c'est drôle, Vernon," Chloé fit entendre son rire maladroit. "J'ai eu un peu peur quand tu as dit ça. Mais ensuite, j'ai réalisé que c'est impossible, haha… bonne blague…."

Vernon avait prévu la réaction de sa belle-sœur. Après tout, elle était toujours du type modeste qui croyait encore en l'amour traditionnel et en la loyauté après le mariage.

N'est-ce pas aussi la raison pour laquelle son mariage avec son frère adultère a échoué ?

"Peut-être que cela vous convaincra," dit Vernon. Sa main gauche se posa soudainement sur l'épaule de Chloé, la bloquant sur place. Tandis que sa main droite rampait lentement de sa clavicule à son cou.

La grande et chaude main de Vernon entoura son cou fragile, pour s'assurer que Chloé ne pourrait pas s'échapper pendant qu'il lui murmurait quelque chose à l'oreille, "Je veux que tu travailles sous mes ordres, écartes les cuisses et m'accueilles comme ton Patron. Aussi bien au bureau qu'au lit."

Chloé ressentit une secousse à l'intérieur de son corps lorsque Vernon lui lécha doucement le lobe de l'oreille. Elle se débattit, essayant de se libérer de l'étreinte de ce salaud diabolique.

Mais les mains de Vernon étaient fermement enroulées autour de son épaule et de son cou. Plus elle se débattait, plus elles se resserraient, l'étranglant légèrement alors que Vernon continuait à parler;

"Je n'ai pas encore fini," Vernon murmura avec un ricanement dans la voix.

"V—Vernon, tu es fou ! Je suis encore ta belle-sœur !" Chloé cria en essayant de se libérer une fois de plus. "—Ack !"

Chloé cessa de se débattre lorsque Vernon appuya doucement son pouce sur son œsophage, lui rendant la respiration difficile. "

"Tout marché avec moi comporte des risques élevés, mais offre un rendement élevé également. Je peux te donner tout ce que tu veux, mais tout a un prix. Pense-y, belle-sœur."

Vernon relâcha enfin son étreinte autour du cou de Chloé et fit quelques pas en arrière pendant que Chloé toussait quelques fois.

Elle se retourna et vit Vernon hausser les sourcils légèrement, comme s'il n'avait pas dit quelque chose de absolument dégoûtant à sa propre belle-sœur !

Même si elle était en train de divorcer, elle était toujours légalement sa belle-sœur !

Cela a également été un choc pour Chloé, qui était une femme conservatrice. Elle n'avait été amoureuse qu'une fois et avait épousé le même homme qui l'avait dépucelée.

Elle savait que Vernon était tristement célèbre dans les potins et les réseaux sociaux en tant que séducteur qui aimait briser le cœur des femmes par pur plaisir.

Elle pensait que c'était exagéré, mais il… il voulait poser la main sur elle ?!

Chloé se leva de son siège et fit quelques pas en arrière pour s'éloigner de Vernon. Le diable continuait à sourire narquoisement en croisant les bras. Il semblait voir cela comme un jeu, une plaisanterie, peut-être.

"Tu… ne te rends pas compte de ce que tu viens de dire ? Vernon, nous sommes—"

"Nous sommes beaux-parents, oui. Pas pour longtemps," interrompit Vernon. "Tu vas probablement divorcer de mon frère bientôt. Mais, même si ce n'est pas le cas, je m'en fiche. Je suis simplement un peu curieux à ton sujet, c'est tout. Comme tu as pu convaincre Vincent de rester pendant… deux ans ?"

"Toi… t'es incroyable," Chloé serra le poing. "Je suis là pour trouver un emploi pour nourrir ma fille ! Je ne suis pas là pour du sexe !"

"Ce n'est pas seulement du sexe. Je te paierai pour ça, et je te donnerai tout ce dont tu as besoin. N'est-ce pas pratique ?" dit Vernon. "J'ai rompu avec une femme il y a environ trente minutes. Elle n'a été qu'une nuisance."

"Je ne veux pas m'engager maintenant non plus. C'est trop fatiguant quand j'ai un gros projet en cours. C'est pourquoi je veux t'embaucher pour travailler sous moi," dit Vernon.

Tout ce que Vernon a dit était si incroyable pour une femme traditionnelle comme Chloé. Elle était prête à travailler dur pour subvenir aux besoins de sa fille, sans vendre son corps— Enfer, cela n'avait même pas de sens ! Elle avait 35 ans, et lui en avait 25 !

Il pouvait évidemment avoir toutes les femmes qu'il voulait, mais maintenant il voulait soudainement faire des siennes sur une vieille femme comme elle?!

Chloé respira profondément, essayant de se calmer.

"Vernon, j'ai trente-cinq ans, tu le sais ? Pourquoi jouerais-tu avec une femme comme moi ?"

"Je n'ai aucune obligation de te le dire," Vernon haussa les épaules avec peu ou pas de souci.

"C—Peux-tu s'il te plaît me donner un vrai travail. Je pourrais même être une femme de ménage dans ton bureau !" Chloé insista. Espérant que cela ferait fondre le cœur de Vernon. "C'est pour ma fille. Je t'en supplie…."

"Le seul travail que je peux te donner, c'est d'être mon assistante personnelle," répondit Vernon. "Tu peux partir maintenant si ça ne t'intéresse pas, belle-sœur. Bien que je puisse voir que tu es très désespérée pour ce travail."

Après avoir réalisé que Vernon ne lui laissait qu'un seul choix, elle se mordit la lèvre et secoua vivement la tête, "Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'un travail, pas d'être ta salope ! T'es fou, Vernon Phoenix Gray !"

Chloé donna un coup de pied au sol en voulant partir.

Mais Vernon lui barra le chemin avec ses larges épaules imposantes et son corps grand.

"Quoi ? Qu'est-ce que tu veux maintenant ? J'ai dit que je ne voulais pas de ton offre !" Chloé cria.

"Ah, ne t'énerve pas comme ça, belle-sœur," il sortit une carte de visite de la poche de son costume. Il lui saisit le poignet et mit la carte dans sa main, "Ce numéro a mon numéro privé. N'oublie pas de m'appeler quand tu changeras d'avis."

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