Sa courte conversation avec Alice avait chargé d'inquiétude Reiner. Et si son frère ne lui adressait même pas la parole ? Si c'était en réalité inutile d'aller le voir ? Quand il sortit timidement de son appartement, il secoua la tête en se dirigeant vers sa voiture pour la démarrer, et partir d'ici afin de se diriger chez son frère. Chose qu'il n'avait plus fait depuis bien longtemps.
Bien assez tôt, il vit un immense panneau holographique affichant « vous sortez de principium », pour se diriger dans une ville très proche de la sienne, bien qu'elle soit beaucoup plus grande. Quand il vit à peine une dizaine de secondes plus tard un autre énorme panneau holographique affichant « bienvenu à Initium finis », il sentit son cœur se serrer à cause du stress qui l'envahissait de plus en plus violement. Rapidement, il se retrouva à manœuvrer au milieu d'une immense route entouré d'imposant bâtiments, servant de locaux d'entreprise. Les rues était tout aussi propre en apparence que dans sa ville. Bien que moins de ruelle puisse être vu ici et là. Toutefois, toutes ruelles existante était gardée par des hommes s'appuyant contre un mur, ou faisant les cent pas non loin des entrées. Celle-ci menait à des rues relier entre elles, dans un vaste réseau tentaculaire parcourant la Mégalopole, comme une seconde ville méconnu du grand publique, ou des forces de l'ordre.
Reiner se dirigea en périphérie de la ville, où se situait les gratte-ciels résidentiels. Il s'arrêta ensuite sur un parking non loin de l'un des plus petits d'entre eux. De plus, il semblait également être l'un des bâtiments les plus anciens.
Reiner y entra alors d'un pas hésitant, mais rassembla tout son courage avant de prendre l'ascenseur en direction du troisième étage.
Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent rapidement, révélant quatre portes le long d'un couloir. Reiner se dirigea maladroitement devant la porte la plus proche de l'ascenseur situé à sa gauche, appuyant sur la sonnette. Elle laissa échapper un écho lointain dans l'appartement, mêler à quelques bruits de pas.
Quand la porte s'ouvrit, elle laissa apparaître un homme ayant presque la même taille que Reiner. Il lui ressemblait trait pour trait, si on omettait qu'il semblait plus musclé, et âgé que Reiner.
« Reiner ? » Dit l'homme avec une expression mêlant joie et surprise, avant qu'elle ne se durcisse l'instant suivant, alors qu'il demandait.
« Tu viens faire quoi ici après un ans et demi ? »
« Léo...je... »
« Si tu veux de l'argent pas besoin de venir, je t'avais prévenue la dernière fois, de ne même pas penser à revenir demander de l'argent à cause de cette pute. »
« Ça fais un an que j'ai coupé tous les ponts avec elle, je ne viens pas pour de l'argent, mais...pour m'excuser... »
Répondit faiblement Reiner, agitant négligemment ses mains pour soulager son stress.
« Huum...Dans ce cas je t'écoute. »
Répondit Léo d'un ton aigre, masquant une expression intrigué.
« Léo, je suis vraiment désolé pour tout ce que je t'ai dit et fait, j'aimerais pouvoir me racheter à t'es yeux...»
« J'ai une question, tu penses qu'un an et demi de séparation complète, un nombre faramineux de dispute, et autant d'argent pris, même si il a été en partie remboursée, peuvent se résoudre en claquant des doigts avec un : « Désolé, j'aimerais me racheter. » ? »
Demanda honnêtement Léo. Sa voix cinglante était pareille à des lames, alors que celle-ci s'enfonçait directement dans le cœur de Reiner, qui répondit à voix basse, tout en baissant la tête.
« Non... »
« T'a pas changé depuis tout ce temps... Je veux bien faire un pas en acceptant t'es excuses, ce serait puérile de les refuser. Et puis de toute façon, je me fous de l'argent que tu n'as pas rendu. Je te l'avais donné et j'en ai pas besoin, donc ne pense même pas à en ramener pour faire bonne impression, le pardon ne s'achète pas avec de l'argent. Si tu veux vraiment te faire pardonner, viens plus souvent, et essai de re crée des liens avec le temps... De simples excuses ne sont que des mots, je veux des preuves sincères, pas des mots ou des action creuses. Tu as autre chose à dire ? »
« Non... »
Chuchota Reiner, encore plus faiblement.
« Alors au revoir. »
Grogna Léo. Cependant, après un soupir, il ajouta une phrase en direction de Reiner qui s'apprêtait à tourner les talons, un air résigner mêler à de la déception inscrit sur son visage, bien qu'il s'attendait à cela, si-ce n'est pire.
« Reviens plus tard, je dois réfléchir et vérifier quelque chose... »
Après avoir fermé la porte, Léo s'affala sur son canapé en chuchotant.
« Il est définitivement le même...si je n'avais pas rajouté ça à la fin, je ne l'aurais pas vu avant un bon moment...il aurait au moins pu demander mon nouveau numéro...mais bon, je suis content qu'il soit venu pour s'excuser, depuis le temps... »
Puis il soupira à nouveaux en se relevant, un léger sourire sur le visage cette foi, alors qu'il regardait Reiner regagner sa voiture.
* * *
Une fois rentrer chez lui, Reiner ouvrit doucement la porte d'entrée. Il avança discrètement, mais se laissa tomber sur le canapé dès qu'il en fut assez proche, tout en prenant la télécommande qui avait fait un petit bond sur le canapé suite à sa chute non maîtrisé. Alice l'intercepta avant qu'il ne fasse quelque chose d'autre, demandant d'un air intrigué, et très légèrement tendu au vu du premier reflex de Reiner après être rentré.
« Alors ? »
« Pas-grand-chose...mais j'imagine qu'il m'avait déjà pardonné depuis le temps... Ou qu'il s'en voulait pour quelque chose, il a été beaucoup plus gentil que la dernière fois et m'a même dit de revenir plus tard, donc j'essaierais d'y retourner dans pas très longtemps...Merci Alice, et faudra aussi que je remercie Clovis... »
« Vous rester frère, et puis ça ne doit pas être un sujet si grave qui a créé vos disputes au fond, mais félicitations d'y être aller. »
Répondit Alice avec un grand sourire.
« Merci. »
Rétorqua Reiner, arborant également un sourire sincère avant d'allumer sa télévision, qui diffusa immédiatement des informations. Mis à part le sujet brûlant du proche impact de l'astéroïde, les nouvelles armes, ou les nouveaux modèles de synthétique, rien d'autre ne passait, laissant Reiner changer de chaîne, pour au final ne rien trouver d'intéressant. Il se leva pour se diriger vers sa chambre, suivi de près par la discrète Alice, qui essayait de ne pas se faire remarquer.
Il alluma son ordinateur en sachant qu'Alice était non loin derrière lui. Il eut l'idée d'une blague, mais se stoppa après avoir écrit « hent », se retenant par peur de se faire mal comprendre. Il écrivit à la place le nom d'un des nombreux sites ou une pléthore de romans étaient poster, puis, essaya de parler doucement, sans laisser transparaître sa légère gène qu'il avait lui-même engendré.
« J'ai commencé à lire un roman peut avant de t'acheter, si tu veux on peut le regarder ensemble, je n'en suis qu'au deuxième chapitre sur quelques centaines vu que je devais retrouver Clovis. En plus ça doit être ennuyeux pour toi aussi de rester ici sans rien faire, je me trompe ? »
Demanda Reiner, une légère appréhension s'emparant de lui.
« Si ça ne te gêne pas j'en serais heureuse. »
Se réjouit Alice, heureuse d'en apprendre un peu plus sûre Reiner.
« Dans ce cas retournons au salon. »
« Hein, pourquoi ? »
Demanda Alice, un air confus inscrit sur le visage.
« Pour que tu puisses lire confortablement aussi...sauf si tu veux garder ta tête sur mon épaule et te contorsionner pour voir ce petit écran. »
Rétorqua Reiner, pointant son écran d'ordinateur.
« Je peux simplement le lire via mon navigateur internet interne. »
« Mais du coup c'est pas le lire ensemble ça...c'est lire chacun de son côté. »
Répondit Reiner en soupirant, avant de hausser les épaules. Ce qui fit parler Alice, mais il la coupa presque instantanément.
« Mais... »
« Je peux aussi le mettre sur l'écran de ma télévision ne t'en fais pas, et puis ça sera plus confortable pour nous deux, moi j'ai simplement l'habitude de venir ici pour lire tranquillement. »
Reiner esquissa un sourire, puis il tira Alice par le bras afin de l'amener dans le salon. Il changea ensuite l'écran de la télévision pour projeter le même site que sur son ordinateur, légèrement excité à l'idée de partager l'un de ses loisirs avec quelqu'un, avant de dire.
« Tu veux lire quel genre de roman ? »
« Mais, tu n'a pas dit à l'instant que tu en avais commencé un ? »
« Oui mais il ne sera peut-être pas à ton goût, donc je voulais savoir si il avait une chance de plaire ou pas. »
« Vu que je n'en ai jamais lu avant, tout me va j'imagine. »
Répondit Alice, haussant les épaules. Reiner afficha en conséquence un roman, avant de mettre le premier chapitre. Celui-ci parlait d'un monde postapocalyptique ravagé par une guerre nucléaire ou chaque infime ressource était plus précieuse que sa propre vie, et où les quelques survivants humains arrivait à peine à survire au milieu des décombres de la civilisation, et des divers monstres mutants cherchant à également survivre. Certains humains subissait même diverses mutations, engendrant dans la majorité des cas de grand pouvoir. Bien qu'ils étaient mal vu car un humain pourrait perdre la raison à cause de ces mêmes mutations sans aucun signe avant-coureur. Le protagoniste était l'un de ces mutants.
Alice accrocha immédiatement à l'histoire, laissant sourire Reiner qui la voyait lire avec une grande vitesse tout ce qui était affiché à l'écran. Puis, quand les deux eu fini le second chapitre, Reiner parla avec un sourire en coin.
« C'est un peu mieux que de lire seul, t'en pense quoi ? »
« Je m'avoue vaincu, tu avais raison là-dessus. Voir t'es réactions du coin de l'œil sont assez drôle. »
Répondit Alice en levant ses mains, regardant Reiner qui affichait un sourire satisfait en retenant sa gêne, tout en affichant le chapitre suivant à l'écran.
* * *
Ce n'est qu'au moment où toute lumière extérieure furent coupée, et que les yeux de Reiner le piquèrent, en plus d'un sentiment écrasant de faim, que tous deux se stoppèrent de lire. Ils discutèrent à la place du roman pendant que Reiner mangeait, écoutant Alice parler.
«T'en a penser quoi du moment où il perd le contrôle et massacre tout le monde quand ses amis était au seuil de la mort ? »
« C'était sympa, je ferais peut-être la même chose à sa place. En-tout-cas, tu dois vraiment être tombé sous le charme du roman pour en parler, même maintenant. »
« Oui, je me suis peut-être laissé emporter... »
Répondit Alice avec un sourire timide, tout en ricanant alors qu'elle se grattait la tête, laissant presque s'étouffer de rire Reiner pendant qu'il mangeait.
Juste après la fin du repas, tous deux continuèrent de lire, jusqu'au moment où Reiner alla dans sa chambre pour se coucher. Il adressa un dernier regard à Alice, avant de dire.
« Hey...Attends-moi pour lire la suite demain... Je veux pas que tu me spoil la fin... Par contre je te recommande d'autre roman comme « la nécropole » ou « Gloutonie » en attendant, ils sont vraiment cool. »
En entendant cela, Alice ricana alors que la porte se fermait. Elle changea alors d'un air distrait le roman que tout deux lisait ensemble, affichant à la place l'un de ceux recommandé par Reiner, un léger sentiment de solitude naissant dans sa poitrine.
* * *
Ce n'est que lorsque le réveille de Reiner affichait neuf heures trois, que celui-ci se leva, accompagné par le son des oiseaux venant de dehors. Il se dirigea directement vers sa salle de bain, et en ressortit habiller d'un ensemble exclusivement noir une vingtaine de minutes plus tard, puis, se dirigea vers son salon, les cheveux toujours mouiller. Il s'approcha discrètement d'Alice , qui lisait quelque chose assise sur le canapé, également habiller de noir. Une fois assez proche, il mit sa bouche près de l'oreille d'Alice avant de lui chuchoter doucement.
« Je voie qu'on est assortie. Pourtant je croyais que le noir n'était pas une couleur... »
Alice sursauta presque immédiatement après avoir entendu Reiner, le frappant au menton de sa tête en se levant précipitamment. Cependant, sa gêne et sa panique initiale laissa rapidement place au calme, alors qu'elle réalisait ce qu'il c'était passé, pendant que Reiner frottait son menton avec une expression douloureuse. Elle se sentie encore plus gêner alors qu'elle rougissait en observant Reiner, mais lui adressa tout de même vite, bien que maladroitement, la parole.
« Dé...désoler pour ton menton...mais par contre tu aurais pu m'éviter ça...Tu m'a vraiment fait peur. »
« Désoler c'était trop tentant, tu étais tellement absorbé par ta lecture, sinon ça va ? »
« Oui, je me sentais bien jusqu'au moment où tu m'a fais peur, et toi ? »
« Un peu mal à cause de toi...sinon, ça va. »
Alice renifla aux paroles de Reiner en guise de réponse, avant de s'éloigner et de dire de manière énergique et enthousiaste.
« T'es recommandations étaient bonnes, mais je veux lire la suite du roman qu'on lisait ensemble vu que tu es réveillé ! »
« Moi aussi, mais j'aimerais bien mettre les informations un peu plus tard, je suis curieux de la situation actuel...surtout vis-à-vis de l'impact, donc ça te gêne pas si je changer pour les infos a treize heure quarante, ou un peu après ? »
« Je suis également curieuse, donc pourquoi pas. »
« Bon alors c'est partie, on s'était arrêter au chapitre quarante-trois c'est ça ? »
Alice hocha la tête en signe d'accord, attendant Reiner.
Tous deux ont ainsi lu un long moment, l'histoire était bien plus détaillée qu'à ses débuts, et encore plus prenante. L'auteur s'était visiblement amélioré pendant qu'il écrivait. Désormais, les scènes paraissaient presque vivantes, et bien que l'histoire ait beaucoup progressé, c'était pour le mieux, bien que le héros ait subi beaucoup de perte et semble encore loin d'un héros tout-puissant.
Ce n'est que bien plus tard que Reiner mit les informations, affichant un compte à rebours sous le logo de la chaîne de télévision. Celui-ci indiquant l'heure estimé de l'impact, qui sera causé par l'astéroïde à « treize heures cinquante-deux », tout en diffusant des experts relativement tendus discutant des possibles répercutions après l'usage excessif d'armes de certains pays, alors que l'heure actuelle affichait treize heures trente-sept. L'impact était imminent.
« Mais vous oubliez comment à débuter la grande guerre d'unification, si certain pays se retrouve affaiblie une nouvelle guerre pourrait éclater ! »
« Certes, mais les traités signé garantissent qu'il n'y à aucun risque, de plus n'oublions pas que cette déclaration possible de guerre ne serait pas instantanée, et que les pays n'apportant pas leurs soutiens, ou attaquant directement, serais très mal vu par les quelques autres. Le pays attaquant serait donc possiblement confronté à une coalition. En plus, la coalition africaine c'est porté volontaire en tant que médiateur afin d'apaiser tout conflit potentiel. »
Mais alors que les débats continuaient, le plan changea brusquement, comme pour interrompre les journalistes. La chaîne diffusa à leurs places une générale dans un studio, qui n'était visiblement pas prête à prendre l'antenne. Elle fut forcée en conséquence de précipitamment expliquer divers détails inutilement complexes, comme le fait que les missiles allaient exploser bien après leur sortie de l'atmosphère, et en quoi leur arme dévirait, ou réduirait l'astéroïde à l'impact.
Reiner et Alice observèrent en silence l'écran, jusqu'au moment où il changea pour montrer une multitude de missiles sol-air si nombreux qu'il était presque impossible de les compter tant il y en avait. Puis, l'ordre de faire feu retenti, laissant chaque missile être lancé avec un décalage assez long pour faire en sorte qu'aucun ne s'endommage en vol ou à l'impact, mais assez court pour être presque imperceptible. Cependant, il furent vite rejoint par quelques autre missiles, lancé d'autre site de lancement stratégique, afin que tout l'impact ne se trouve pas être localisé sur le même point.
Une fois que tous les missiles furent lancer, l'impact retentis légèrement avant le niveau de la sortie de l'atmosphère terrestre, puis, une Onde de choc secoua les caméras, l'horloge affichait treize quarante neuf. C'était trois minutes plus vite qu'attendu. La générale gardait un air calme en regardant l'énorme nuage de poussière qu'elle pensait être l'astéroïde, mais cette air calme disparue de son visage rapidement, remplacé par un air sérieux. Elle ordonna immédiatement aux canons plasmas, vorace en énergie, de faire feu alors que l'astéroïde semblait au plus proche de l'atmosphère terrestre, ainsi que de faire décoller les rare missiles à tête nucléaire restante, qui décolèrent en conséquence avant même que la fumer ne disparaisse, ce qui fit immédiatement ajouter aux experts désormais afficher en petit, au coin droite de l'image.
« Ne vous inquiétez pas, comme dis il y a deux jours, et fréquemment rappeler, ces missiles ont une puissance explosive accrue mais en échange comporte bien moins de radiation, celle-ci ne devrai même pas se faire ressentir car comme vous le savez peut-être, nous sommes en permanence exposer à des radiations, et notre corps peu largement en supporté très légèrement plus sans même que cela ne se remarque. De plus les radiations qui serons disperser avec ces missiles seront infime, et ne devrais pas vous mettre en danger de quelque sorte qu'il soit. Tout a été calculer pour rester dans un niveau sans aucun danger pour toute la population mondiale, ou que vous viviez, même au plus proche du point d'impact des missiles, en plus de vaporisé les reste de l'astéroïde. »
Pourtant, alors que l'on pouvait entendre la voix calme de l'expert qui parlais, l'écran affichait l'astéroïde presque immobile. Celui-ci était couvert de fumer des suites des divers impacts de missile et de plasma. En revanche, l'image était bien plus nette, laissant la possibilité de discerner plusieurs détails sur celui-ci, qui n'avait reçu presque aucun dégât, en plus de ne plus ressembler à un astéroïde rocheux. Il montrait à la place montré une apparence métallique et lisse par endroit. Plusieurs faibles points de lumière pouvant être vu sur celui-ci, avant que les missiles nucléaires ne frappent très vite le dessus de l'astéroïde avec une trajectoire en cloche étrangement choisi.
Une explosion assourdissante retentit alors. Tout trembla, et bien que l'astéroïde fût situé au niveau de continent Sud-Américain, l'explosion pouvais être légèrement ressentie même en Europe. Quand les images redevinrent stables, et que la fumer dans les airs fut disperser, seul l'astéroïde dont le dessus était gravement endommagé, avec des parties arracher pouvait être vu. Sa trajectoire étant même modifié pour se diriger vers les État Unis d'Amérique, la d'où était situer le principal site de lancement des missiles, à une vitesse plus rapide encore qu'il étoile filante alors qu'il semblait entré dans l'atmosphère.
Reiner et Alice étaient bouche bée et pétrifier devant l'écran, se regardant juste, voyant le même regard surpris et paniquer chez l'autre, pourtant aucun n'arrivait à parler ni à bouger. Le même phénomène était en fait vrai pour tous, que ce soient les experts retransmis en direct, ou ceux qui regardaient l'émission dans la rue grâce aux écran géant sur les bâtiments, le temps semblait presque arrêter.
Ce phénomène était mondial, sauf pour les citoyens des État Unis d'Amérique. Ceux-ci bougeaient dans tous les sens à la vue de l'approche rapide de l'astéroïde, qui fonçaient vers le désert du Nouveau-Mexique. C'était l'endroit exact ou était situé le sites, et les troupes qui avait lancé la majorité des missiles, ainsi que les canons ayant tiré précédemment, se voyant désormais presque totalement fondus en raison de la violence de leurs propres tirs.
Étrangement, l'astéroïde ralentie grandement peu avant de toucher le sol, au point ou cela semblait impossible, bien sa vitesse était si grande que cela se passa en à peine une fraction de seconde, créant un immense bague sonique, accompagné d'une onde de choque, comme si il avait touché le sol, alors que ce n'était pas le cas. Le temps sembla se figer l'espace d'un instant, tout était devenu si calme. Même le ciel semblait déchirer en deux, laissant l'astéroïde s'écraser de plein fouet sur l'équipe de journaliste, les soldats, ainsi que les installations militaires qui avaient servie à tirer, ou lancer les missiles, tout en libérant une deuxième immense onde de choc des suites de l'impact, semblant pourtant étrangement faible.