1 Chapitre 1: introduction
« Attendez ! lança Feuille de Houx en se levant. J'ai une chose à dire aux quatre Clans de la forêt
- Quoi ! » Pelage de Lion leva la patte pour la forcer à se rasseoir. « Tu es folle ou quoi ? Les guerriers ne s'expriment pas ici !
- Eh bien, moi si », cracha-t-elle en haussant les épaules.
Elle aperçut Œil de Geai parmi les guérisseurs : il avait l'air horrifié. Elle n'en tint pas compte.
«Vous croyez...
- Feuille de Houx ! la coupa Etoile de Feu, dont les yeux lançaient des éclaires. Si tu avais quoi que ce soit d'important à annoncer ici, tu aurais dû m'en parler au préalable. Maintenant, tais-toi et, quelle que soit la cause de ton trouble, nous en discuterons demain. »
Après avoir suivi le code du guerrier Pendant des lunes et des lunes, elle faillit se taire docilement. Je doit obéir à mon chef ! Puis elle se reprit. Le code du guerrier est mort ! Il ne sert à plus à rien de le respecter.
« Non ! cria-t-elle au milieu des hoquets de stupeur. Je parlerai maintenant
-Oui laisse la parler, intervient Etoile de Léopard, qui se releva en regardant Feuille de Houx avec curiosité. J'aimerais entendre ce qu'elle a a dire.
-Et moi aussi, ajouta Etoile Solitaire.
-À moins que le clans du Tonnerre n'ai des secret qu'il a peur de révéler ? » rétorqua Etoile de Jais, qui fit claquer sa queue vers Etoile de Feu avec mépris.
Partout dans la clairière, des guerrier des trois autres clans Clans miaulèrent contre ceux du Clan du Tonnerre. Feuille de Houx se dressait au milieu de la clameur, étrangement calme. Elle savait qu'elle ne devrait attendre qu'un instant de plus.
Etoile de Feu finit par lever la queue pour obtenir le silence.
« Très bien, Feuille de Houx. Exprime-toi. Et prie le Clan des Étoiles pour ne pas le regretter. »
A présent, le silence était tel que Feuille de Houx entendit une souris frétiller dans les feuille au pied du grand Chêne.
« Vous pensez me connaître, reprit-elle. Ainsi que mes frères, Pelage de Lion et Oeil de Geai du Clan du Tonnerre. Vous le croyez, alors que tout ce qu'on vous a dit sur nous n'est qu'un mensonge ! Nous ne somme pas les petits de Griffe de Ronce et de Poil d'Ecureuil.
- Quoi ? s'étranglant Griffe de Ronce en se levant d'un bond au milieu Des autres lieutenant. Poil d'Ecureuil, pourquoi est-ce qu'elle raconte ses bêtises ? »
La guerrière rousse se leva. La lueur de panique qui s'était allumé un instant dans ses yeux fut remplacé par... Des regrets ? De de la culpabilité ? Ou de où la tristesse d'une mère qui s'apprête à perdre ses petits... ?
«Je suis désolé, Griffes de Ronces, mais c'est vrai je ne suis pas leur mère , et tu n'es pas leur père.
- Alors qui sont leurs parents ? » Demanda le lieutenant sans la quitter des yeux. Poil d'Ecureuil se tourna vers celle qu'elle avait toujours traitée comme sa fille.
« Dis-leur, Feuille de Houx. J'ai gardé ce secret pour une bonne raison. Je ne peux pas le révéler maintenant.
- Espèce de lâche ! » cracha Feuilles de Houx . Ses yeux parcourir la clairière et elle vit tout les regarde tourner vers elle.« Je n'ai pas peur de la vérité ! C'est Feuille de Lune notre mère et Plume de Jais - oui, Plume de Jais du clan du vent-,Notre père. »
Malgré les miaulements d'indignation, elle hurla : « C'est deux la avaient si honte de nous qui nous ont abandonné et vous ont menti à tous pour dissimuler le fait qu'ils avaient trahi le code du guerrier tout est sa faute à elle ! » Elle tendit là que vers Feuilles de Lune. « Comment un clans peut-il survivre alors qu'il y a des lâches et des menteurs en son sein?»
Les murmure horrifié repris avec une telle intensité que Feuilles de Houx ne plus se faire entendre. Mais c'était inutile. Elle avait expliqué ce beau quoi elle était venu. C'est pas de trembler comme si elle avait traversé d'une traite tout son territoire.Elle dû s'asseoir. Elle se sentait étrangement apaisé, comme si elle venait de crever un abcès et qu'elle regarder le pus s'en écouler.
Plume de Jais cela de rage et hurla « c'est faux ! », son épée pelage gris sombre avait doublé de volume. Près de lui, Belle de nuit et Pelage de Brune semblaient furieux et déroutés. « Si, c'est vrai Plume de Jais, avoua-t-elle. Je suis désolé. Je voulais te le dire… Ce n'était jamais le bon moment. »
