TU ES VRAIMENT PARTI
Après un moment de silence, enfin, le Président Li ouvrit la bouche, "Je viens là-bas."
Si Guen se rappelait le passé quand son patron a parlé. Au début, il ne comprenait pas ce que son patron voulait dire. Mais bientôt son expression a changé. Il a dit, "Patron, en ce moment je suis à l'extérieur de l'immeuble de l'appartement de la petite mademoiselle."
Le Président Li a répondu, "Je sais. Attends-moi." Puis il a raccroché et s'est dirigé vers son hélicoptère.
Si Guen a regardé le téléphone avec incrédulité et s'est plaint à l'intérieur, 'Patron, il est dix heures et demie. J'ai faim. Et comment peux-tu me dire de t'attendre au milieu de nulle part? Même si tu ne te soucies pas de ton enfant, eh bien, j'aime ma famille. Ils me manquent.' Malheureusement, il se disputait dans son cœur. Il n'oserait pas dire cela devant son patron.
Plus tôt qu'il ne le pensait, son patron est arrivé. Comme il le pensait, son patron a pris un hélicoptère pour venir à Pékin depuis Shanghai. Quand le Président Li se tenait debout devant l'immeuble d'appartements, une telle figure royale ressemblait à un tigre blessé. Il regardait le balcon fortement brûlé du quatrième étage. Là, autrefois, elle se tenait pour sentir la brise du sud.
Sans regarder son assistant, il a demandé, "Et les espions?"
Si Guen a répondu: "Leurs corps brûlés ont déjà été emmenés à l'autopsie. Nous aurons bientôt le résultat, bien que nous puissions dire la réponse sans même en obtenir un." Si Guen s'est arrêté un instant et a fermement dit: "Patron, ils ont été assassinés. Ou quel professionnel mourrait à cet endroit. De plus, l'un d'eux tenait un couteau."
Si ce n'était pas assez clair, la dernière déclaration de Si Guen a rendu tout clair.
En regardant le bâtiment brûlé, le Président Li a soudainement eu l'impression d'être devenu pauvre. Il ne lui restait plus rien dans ce monde. Maintenant qu'il n'a plus rien d'elle, il se sentait les mains vides. Il a réalisé qu'elle était vraiment partie cette fois-ci.
Soudain, il se souvint de quelque chose. Il s'exclama : "Le trophée !"
Son assistant a été pris de court. 'Le patron a-t-il vraiment craqué son cerveau ? Est-ce l'heure de faire appel à un psychiatre ?'
Ne pas exprimer ses pensées, il a demandé avec confusion, "Trophée? Patron?"
Le Président Li n'a pas pris note de la voix de son assistant. Il a demandé, "Et le trophée qu'elle a reçu en Allemagne?"
À présent, Si Guen comprenait vraiment ce que voulait dire son patron. 'Le patron a-t-il brûlé la photo que je lui ai donnée ?', a-t-il répondu: "Patron, j'ai aussi cherché, mais je ne l'ai pas trouvé."
Entendant cela, le dernier espoir du Président Li s'est envolé. Il a regardé le ciel. Il était maussade. Des nuages rouges se formaient dans le ciel. Bientôt il pourrait pleuvoir. Regardant vers le haut, il a pensé, 'Voyez-vous ? Vous êtes vraiment partie. Vous avez dit un jour que vous me suivriez partout et que vous ne lâcheriez jamais. Vous avez rompu votre promesse. Vous m'avez laissé sans rien.' Sa haute stature semblait désolée dans la nuit de Pékin.
Il a regardé en arrière son assistant et a dit, "Retournons à Shanghai."
Si Guen a été stupéfait. Il a dit, "Patron, l'enquête...."
Avant qu'il ne puisse finir, son patron a dit, "Ca peut attendre. Et aussi, prends une semaine de congé." Ensuite, le Président Li s'est dirigé vers l'hélicoptère.
Si Guen ne croyait pas ses oreilles. Après neuf mois, il a eu des jours de congé. Mais il avait l'impression que quelque chose n'allait pas.