Le Chapitre Final

Comme elle pleurait, Alice se sentait commencer à paniquer. Puis elle a vu l'homme qui a poignardé Guillaume et elle était soudainement en colère.

Elle l'a attrapé et lui a demandé « Pourquoi est-ce que tu a fait ça ?! » Puis elle l'a reconnu. Il était l'homme qui l'a agressée. L'homme a souri. « Il a eu qu'il méritait. » Ce furent ses derniers mots alors qu'il a rendu son dernier souffle et est mort.

Alice a appelé une ambulance pour Guillaume, mais elle s'inquiétait qu'il était trop tard pour le sauver. Ils sont arrivés à l'hôpital et Alice a dû attendre aux urgences.

Chaque seconde ressemblait à une minute. Chaque minute ressemblait à une heure et chaque heure ressemblait à une décennie. Alice ne pouvait pas croire que ça arrivait. Son cœur brisait chaque seconde que Guillaume n'était pas là avec elle parce qu'elle savait qu'il était en danger. Alors comme Alice attendait, elle a pleuré. Mais elle a refusé à croire qu'il n'irait pas bien. Elle savait qu'il irait bien, mais elle était toujours effrayée.

« Laissez-moi partir ! Je dois le voir, il est mon ami ! »

Alice a tourné la tête et elle a vu l'ami de Guillaume, Marc. Il avait l'air fâché. Ça semblait qu'il essayait de voir Guillaume, mais il y avait des personnes qui ne le laisseront pas.

« Où est-il ? Où est le bâtard qui l'a poignardé ? Je vais le tuer ! »

« Monsieur, tu dois te calmer. »

« Hein ? Je dois me calmer ? Non ! Tu dois me laisser voir mon ami ! »

« Seule la famille peut le voir. »

« Et Alice ? Elle est sa petite amie ! Il était censé son mari ! C'est pas juste ! »

Alice était confuse. Guillaume était censé le mari d'Alice ? Puis Marc a vu Alice. Il a poussé les bras des personnes qui ne le laisseront pas voir Guillaume loin de lui et il s'est éloigné. Marc s'est assis au siège à côté d'Alice et il a soupiré.

« Je suis désolé que tu aies dû voir ça. »

« C'est ok. Que veux-tu dire que Guillaume était censé mon mari ? »

Quand elle a dit ça, Marc avait l'air surpris. « Tu ne sais pas ? » il a demandé. Alice faisait non de la tête et il a soupiré une fois encore.

« Il allait te demander de l'épouser. »

Alice a couvert sa bouche avec les mains.

« Oh mon Dieu ! C'est ce qu'il voulait me demander ? »

« Que veux-tu dire ? »

« Il m'a dit qu'il voulait me poser une question, mais il voulait qu'on se promène d'abord. Alors on est allés au parc et il a été attaqué. »

« Je suis tellement désolé, Alice. Il ira bien, je crois ça. »

Alice a souri. « Moi, aussi. Il est trop têtu pour mourir. »

Marc a ri. « Oui, je suis d'accord. »

Un peu de temps plus temps, les portes des urgences ont ouvert et l'homme qui a poignardé Guillaume a été emmené sur une civière. Marc l'a vu et s'est levé pour l'approcher.

« Est-ce que c'est lui ? Il est le gars ? »

« Oui. » Marc l'a regardé une fois encore. « Que lui est-il arrivé ? Il est sanglant. »

« Après avoir poignardé Guillaume, il s'est poignardé. »

Marc était choqué. « Quoi ? Il s'est tué ? » Alice a hoché la tête. « Je suppose qu'il ne voulait pas aller en jail. »

« Peut-être. » Marc a regardé comme l'homme a été emmené et il a dit « Pauvre bâtard. »

Alice et Marc ont attendu longtemps aux urgences avant d'entendre parler de l'état de Guillaume. Finalement, une infirmière leur a dit de Guillaume. Quand ils ont vu l'infirmière, Alice et Marc l'ont approchée.

« Ira-t-il bien ? » Alice a demandé.

« On ne sait pas. Il a perdu beaucoup de sang. Il faut se préparer au pire. »

« Non ! Je refuse à croire qu'il aille mourir ! » Marc a dit.

« Je suis désolée, mais en ce moment, son état ne s'améliore pas. On ne sait pas s'il survivra. »

Alors après avoir parlé à l'infirmière, Alice et Marc se sont assis. La situation était sombre. Est-ce que Guillaume survivra ou est-ce qu'il mourrait ? Personne ne savait la réponse.

Cela semblait une éternité qu'ils ont attendu de voir Guillaume. S'il n'avait pas longtemps à vivre, ils voulaient le voir. Même quand l'infirmière leur a dit qu'il pourrait mourir, Alice et Marc ont refusé à croire qu'il mourrait.

« Je ne peux pas croire ça. J'ai connu Guillaume depuis j'avais cinq ans. Il ne peux pas mourir, pas maintenant. »

Alice se sentait sympathique pour Marc. Son meilleur ami était à l'hôpital et c'était possible qu'il ne vivrait pas. Si c'était vrai que Guillaume voulait épouser Alice, il ne pourrait jamais la demander. Cette pensée a fait Alice triste. Elle pouvait déjà imaginer la vie qu'elle et Guillaume pourraient avoir ensemble. Alice savait qu'elle voulait être la femme de Guillaume. Elle l'a aimé tellement. Elle avait décidé qu'elle n'abandonnerait jamais Guillaume. Elle resterait à ses côtés et elle serait avec lui pour le reste de sa vie.

« Il ira bien. » l'infirmière a dit.

Alice et Marc ont cligné des yeux. Ils étaient choqués. Guillaume a survécu ! Il ira bien ! Mais l'infirmière n'était pas finie parler.

« Et je suppose que vous pouvez le voir tous les deux. Il est dans Chambre 5. C'est ironique, je dois dire. »

« Que veux-tu dire ? »

L'infirmière avait l'air triste. « C'est la chambre où son père est mort. » Alice était choquée. Son père biologique ou son beau-père ? elle se demandait. Ils sont entrés la chambre et ils ont vu Guillaume. Il était éveillé.

« Guillaume ! » Alice a pleuré comme elle l'a fait un câlin. Elle a regardé dans ses yeux et elle l'a embrassé. Elle était tellement heureuse de le voir. Puis Guillaume a vu Marc. Il a souri.

« Marc. Je suis content que tu sois ici. »

Marc a commencé à pleurer comme il a fait un câlin à Guillaume aussi.

« Je pensais que je ne te reverrais plus jamais ! » il a pleuré.

« Eh bien je vais bien, n'est-ce pas ? »

Marc a hoché la tête et il a commencé à sourire. Guillaume a regardé Alice et il a dit « Je suis content que tu sois en sécurité. » Alice a hoché la tête aussi. « Oui, tu m'as sauvé. »

« Alice, est-ce que tu-- »

« Oui, oui, oui ! Un millier de fois oui ! Bien sûr je t'épouserai ! »

« Comment est-ce que tu-- »

« Peu importe, tout ce qui compte c'est que je sois ta femme. »

Guillaume a cligné des yeux. « Es-tu sûre ? »

« Oui ! Je t'épouserais un million de fois ! »

Guillaume a souri. « D'accord. Marions-nous. »