L'automne était passé, l'hiver était arrivé, et une nouvelle année avait commencé. La saison avait changé en début d'avril, soit près d'un an depuis l'arrivée de Shizuko dans cette époque.
Il n'y avait aucun signe d'une possibilité de retourner à son époque d'origine. Elle ne savait pas comment et pourquoi elle avait remonté le temps en premier lieu.
Elle avait emporté des outils du monde moderne avec elle, mais ne les avait pas utilisés jusqu'à présent.
Ils étaient très pratiques, mais il n'y avait rien qui puisse servir de substitut s'ils se cassaient.
Elle utilisait son smartphone pour acquérir des informations et le rechargeait avec un chargeur manuel doté d'une lampe LED et d'une batterie solaire.
C'était ce qu'elle faisait généralement tandis que le reste de ses outils n'étaient utilisés qu'une fois des substituts fabriqués.
Sinon, Shizuko porterait le fardeau toute seule et les villageois ne pourraient rien faire.
Alors qu'elle rechargeait son smartphone, Shizuko récapitulait les événements qui s'étaient produits.
Shizuko avait déclaré à Nobunaga qu'elle augmenterait la récolte vers l'automne. Nobunaga, en retour, avait dit quelque chose de scandaleux.
Il lui avait ordonné de produire 25 ballots de riz en échange de l'envoi de 50 paysans.
Et il avait menacé de faire exécuter 2 paysans pour chaque ballot manquant.
L'absence d'hésitation avait parfaitement fait comprendre à Shizuko qu'elle était à l'époque Sengoku.
Elle avait compris que les mœurs et l'éthique du monde moderne étaient comme des cailloux sur le bord de la route.
Au début de l'hiver, Nobunaga avait envoyé les 50 paysans promis au village de Shizuko.
De plus, ils étaient accompagnés par leurs familles, faisant que le village s'était fortement agrandi.
Cependant, ils n'étaient pas originaires du même endroit, ils provenaient de diverses régions où la récolte était mauvaise comme le village de Shizuko.
Le stress d'avoir été chassés de leurs maisons et relocalisés dans un autre village était considérable.
Mais ils ne pouvaient pas se permettre de prendre leur situation en considération.
Les nouveaux arrivants avaient été surpris de voir que Shizuko était la cheffe du village, mais il n'y avait eu aucune voix d'objection.
Peut-être qu'ils avaient compris qu'ils devaient se montrer obéissants.
En d'autres termes, le seul moyen pour eux de survivre était d'obéir à Shizuko et produire les plus de 25 ballots promis.
Ils avaient commencé un travail à grande échelle immédiatement après le nouvel an.
Ils avaient d'abord commencé par l'entretien des champs et des rizières.
En mi-janvier, ils avaient développé 2 ha pour les cultures, répartis en 1 ha pour les cannes à sucre et l'autre pour les patates douces, et 8 ha pour les rizières.
Shizuko les avait préparés à l'avance avec l'aide des villageois.
À la fin de février, il était devenu nécessaire de commencer la préparation des semis, mais à cette époque, la pratique courante était de jeter les graines partout au hasard.
Par conséquent, la plupart des villageois ne comprenaient pas la nécessité de préparer des semis, et Shizuko a dû passer quelques jours à leur faire comprendre.
Préparer la terre 1 mois avant de planter les semis la mettait dans une condition optimale, mais les villageois n'étaient qu'à moitié convaincus.
En fin mars, ils avaient sélectionné les graines à planter via l'utilisation d'une solution saline.
Encore une fois, la plupart des nouveaux venus étaient complètement confus.
Pour commencer, l'acte même de sélectionner les graines les plus riches semblait impossible durant l'époque Sengoku.
La tâche d'utiliser une eau salée avec une densité précise de 1,16 pour trouver et retirer les graines les moins riches, qui flottaient à la surface, était simple.
Cependant, une fois les graines fertiles découvertes au fond de l'eau, elles devaient être mises dans des seaux remplis d'eau de rivière et laissées à l'ombre pour que la température n'augmente pas trop.
Bien que Shizuko leur avait expliqué que c'était pour que les graines absorbent suffisamment d'eau pour la germination, les nouveaux venus ne comprenaient pas.
Même si je leur parlais de l'ajustement de la somme des températures, ils ne comprendraient pas~
Cependant, son travail n'était pas limité à cela. Elle avait d'autres tâches.
Tout d'abord, elle avait récolté des fruits de Sapindaceae et les avait transformés en poudre de savon avant la fin de l'automne.
Et comme elle était la seule à en avoir besoin, elle avait travaillé seule après la récolte.
Ensuite, il était devenu nécessaire d'augmenter le nombre de poules afin de créer l'industrie des œufs. Au début, des poules ont été mises ensemble afin de produire des œufs fécondés qui ont éclos.
Cependant, comme Shizuko travaillait seule, il y avait eu des problèmes tels que des poussins qui mourraient de froid ou qui ne grandissaient pas assez.
De plus, il fallait attendre environ 1 mois avant de séparer les mâles des femelles, et d'ici-là, il était nécessaire de leur préparer une nourriture commune.
Dans le monde moderne, il y avait une technique pour déterminer le sexe d'un poussin qui était une qualification nationale et qui était très utile dans le domaine de l'aviculture. Shizuko avait compris l'utilité de cette technique de sexage.
Évidemment, Shizuko n'était pas une experte avec un niveau national, alors elle avait dû faire plusieurs essais en tuant ou en laissant mourir un certain nombre de poussins.
Tous les poussins morts ou trop maigres avaient été convertis en compost.
Rien n'était jeté ou gaspillé.
Heureusement, au bout de 6 mois, elle avait réussi à augmenter le nombre de poulets, ayant à présent 7 mâles et 20 femelles.
Ils étaient à présent divisés en groupes pour la production d'œufs fécondés et ordinaires.
Les producteurs d'œufs fécondés étaient répartis en un ratio d'environ 2 femelles pour 1 mâle tandis que le groupe producteur d'œufs non-fécondés était composé de 10 femelles.
Le fourrage pour les poulets était un mélange de déchets végétaux et de poudre d'os de poissons et de coquillages.
Shizuko avait entendu dire que le taux de ponte d'une poule chutait au bout de 2 ans, quel que soit son type.
Cela signifiait, selon elle, qu'elle pouvait facilement utiliser le même fourrage pendant 2 ans.
Naturellement, Shizuko fabriquait du fourrage mou pour les poussins nouveau-nés.
Les villageois avaient trouvé la technique de culture des légumes un peu étrange, mais ils avaient légèrement commencé à comprendre.
Mais il était indéniable que les villageois considèrent la majeure partie du processus comme étant mystérieuse.
Les 2 hectares qui ont été labourés, et mélangés avec du compost, avaient été divisés en carrés de 50 mètres de côté.
Ils avaient réussi à diviser le terrain en huit parcelles et à faire un cycle de rotation des cultures composé de légumes de printemps et de légumes d'automne.
Tout d'abord, ils avaient divisé les parcelles en paires qui ont été respectivement nommées A-1, A-2, B-1, B-2, C-1, C-2, D-1 et D-2.
Au printemps, ils planteraient du maïs en A-1, de la ciboulette chinoise en A-2, de la citrouille en B-1, des aubergines en B-2, des tomates en C-1 et des daikons en C-2 ; les terrains D-1 et D-2 étaient utilisés pour l'élevage des poules.
Bien sûr, ils n'utiliseraient pas uniquement des techniques de culture de la période Sengoku, ils utiliseraient également des techniques modernes issues des connaissances de Shizuko.
Les légumes du printemps seraient récoltés en automne et remplacés par des légumes d'automne : des oignons verts en A-1, de la laitue en A-2, du taro en B-1, du komatsuna en B-2, des carottes rouges en C-1 et des navets en C-2 ; les terrains D-1 et D-2, quant à eux, continueraient d'être utilisés pour l'élevage des poules.
Comme la terre était divisée et les parcelles changeaient chaque année, des panneaux de signalisation avaient été placés pour rendre les cycles plus faciles à comprendre.
En changeant l'emplacement des panneaux à chaque printemps, il était devenu plus facile de comprendre qu'est-ce qui devait être planté dans quelle parcelle, permettant d'éviter toute mésinterprétation du cycle.
Les panneaux avaient été très bien reçus par les villageois. Selon eux : « C'est plus facile de savoir ce qu'on fait pousser, avec ça. »
Il y avait eu une chose inattendue qui était arrivée : certains des nouveaux arrivants savaient pratiquer l'élevage de ver à soie.
Shizuko avait immédiatement préparé un environnement apte à la sériciculture.
Comme cela ne pouvait pas être fait dans le village, elle avait établi le terrain de sériciculture légèrement à l'écart.
Des feuilles de mûrier étaient nécessaires pour cela, et fort heureusement, des petits mûriers poussaient naturellement à l'écart.
Par conséquent, Shizuko avait remplacé tous les arbres à proximité du terrain de sériciculture par des mûriers.
Bien que l'endroit ne pouvait pas encore être appelé un champ de mûriers, leurs fruits et leur bois étaient néanmoins disponibles.
Fort heureusement, les mûriers poussaient rapidement, il ne fallait que quelques années pour que les fruits et les feuilles qui servaient de nourriture aux vers à soie.
Tout ce qu'elle avait à faire était de planter des semis chaque année, et laisser la nature les faire pousser.
De plus, une idée avait germé dans l'esprit de Shizuko.
Durant la construction des maisons pour les nouveaux arrivants, elle avait remarqué qu'il y avait un surplus de bois et s'était demandée si elle pouvait construire un nichoir pour récolter du miel.
Même s'il n'y avait pas d'abeilles occidentales, des abeilles pouvaient être trouvées au Japon depuis des temps immémoriaux, alors elle avait décidé de récolter leur nectar.
Shizuko avait construit des nichoirs en se basant sur ce qu'avait dit un ami de son grand-père.
La hauteur de chaque boîte était d'environ 120 mm, le groupement de quatre boîtes du même format faciliterait la récolte et était une structure que la reine des abeilles pourrait facilement trouver.
Cependant, même si Shizuko connaissait les travaux d'un apiculteur grâce à ses livres et à ses excursions, elle ne comprenait pas les détails.
Pour commencer, il n'y avait pas de reine aux alentours, alors la probabilité que les abeilles fassent leur nid dans ces nichoirs était proche du miracle.
En d'autres termes, une fois les nichoirs installés, tout ce qu'elle pouvait faire ensuite était de prier les cieux.
Le lieu d'installation choisi était un endroit où des fleurs de colza poussaient naturellement en grand nombre.
Elle avait installé un total de 5 nichoirs, tout ce qu'elle pouvait faire, à présent, était d'aller vérifier régulièrement si des abeilles japonaises s'y étaient installées.
Cela semblait facile, mais il y avait le démérite que la quantité de miel récoltée était instable.
Mais Shizuko était enthousiaste vis-à-vis de cette idée, alors il n'y avait pas de problème à ce qu'elle ne puisse pas récolter beaucoup de miel.
Elle était si enthousiaste qu'elle avait complètement oublié la façon dont le miel était traité durant l'époque Sengoku.
Les cannes à sucre qui avaient été plantées l'été dernier avaient été utilisées comme semis et chaque canne à sucre qui était plantée au printemps serait utilisée comme semis afin d'établir un système de production en masse.
Comme les villageois ne savaient pas ce qui était planté, ils avaient penché la tête.
À cette époque, le sucre était un assaisonnement qui valait une fortune. Si je produis beaucoup de sucre, les villageois pourront probablement éviter la conscription. Et nous aurons probablement la priorité dans la distribution d'assaisonnements comme le sel.
Cette année-là aussi, un grand nombre de semis de patates douces avaient été plantés. Cependant, il a été considéré que laisser les champs se reposer après le passage des patates douces était du gâchis.
Par conséquent, Shizuko avait décidé de faire pousser du colza durant l'automne. Elle pensait qu'elle pourrait faire d'une pierre deux coups en utilisant l'huile de colza pour nourrir les abeilles japonaises durant l'hiver.
À l'origine, il était utilisé comme légume-feuille.
Il était baptisé l'Aona du Kibi dans le Kojiki et le Kukutachi de Sano dans le Man'yōshū.
C'est à partir de l'époque d'Edo que le colza avait commencé à être cultivé pour son huile, et aujourd'hui, il est principalement utilisé comme matière première pour le kérosène, ce qui en fait une huile étroitement liée à la vie quotidienne.
Et pour finir, il y avait la production de soja.
C'était un ingrédient polyvalent qui pouvait être utilisé fabriquer du miso, de la sauce soja, de l'huile, des médicaments rudimentaires, ou qui pouvait directement être mangé.
Cependant, de manière générale, la culture du soja était difficile.
Il avait besoin d'une grande quantité d'engrais azoté, et il était réputé pour ne pas s'intégrer aux autres cultures.
Il était impossible de se procurer de l'engrais azoté durant l'époque Sengoku, alors Shizuko devait se contenter d'un compost fabriqué avec du fumier de volaille.
Elle avait également dû penser aux contre-mesures contre les nuisibles, ce qui lui avait donné de nombreux maux de têtes.
Par conséquent, elle avait proposé une méthode de culture appelée la [culture associée].
C'était un concept d'horticulture et d'agriculture qui était également connu sous le nom de compagnonnage végétal.
Cela consister à cultiver côte-à-côte des cultures qui se donnaient mutuellement une bonne influence, leur permettant de grandir ensemble.
Prenons par exemple le maïs et le soja, les pestes mangeuses de maïs détestent l'odeur du soja et les pestes mangeuses de soja sont des proies naturelles des pestes mangeuses de maïs.
C'était une excellente technique qui permettait de lutter contre les nuisibles sans avoir recours à des pesticides.
Cependant, la plupart de ces situations avaient été conclues via une observation empirique, même dans le monde moderne, il y avait très peu d'exemples qui ont été prouvés scientifiquement.
Shizuko avait adopté cette technique et planté 50 acres de soja et 50 acres de maïs côte-à-côte.
Et pour finir, l'oignon épicé qui était planté en automne et récolté l'été prochain.
Tout avait été planté, non pas pour la production en masse, mais pour récolter leurs graines.
Il fallait attendre l'année prochaine pour qu'ils soient cultivés pour être mangés.
Il était apprécié durant l'Égypte ancienne car il était efficace contre les épuisements tels que la fatigue chronique ou la fatigue musculaire.
Rien que manger des oignons tous les jours permettait à quelqu'un de ne jamais être épuisé.
Et comme il augmentait le taux d'absorption de vitamine B1, il s'accordait bien avec le soja et le foie de poulet.
Mais c'était ici que s'arrêtait le leadership de Shizuko.
Elle avait décidé de laisser les villageois gérer la culture du millet, leur nourriture générale.
Les gens avaient besoin de la possibilité de discuter, écouter, approuver et se faire confier des tâches pour pouvoir grandir.
Par conséquent, Shizuko ne contrôlait pas tout de A à Z.
Lorsqu'elle était le fer de lance (leader), elle ne s'occupait que des tâches importantes telles que la culture du riz, qui avait un quota à remplir et un tribut à payer, l'amélioration des terrains agricoles, le réaménagement des terrains fonciers et la maintenance de l'irrigation.
Il y avait beaucoup de choses à faire et chaque jour était comme un combat acharné pour Shizuko, et pourtant, elle trouvait ces journées épanouissantes.
Si l'on exclut les quelques fois où Nobunaga lui faisait des demandes irraisonnables.
Il la faisait fréquemment faire des tâches difficiles sans tenir compte de ses sentiments.
***
"Hmm, j'en ai installé cinq, mais il n'y en a que trois qui sont utilisés."
Shizuko marmonna ces mots en regardant un nichoir.
Il était magnifiquement vide, il n'y avait aucune trace d'une reine des abeilles ayant fait son nid à l'intérieur.
Sur les cinq nichoirs, quatre d'entre eux avaient été utilisés.
Mais l'une des reines, n'appréciant pas son nichoir, avait fini par partir.
Les abeilles japonaises étaient très sensibles, elles abandonnaient leur nichoir au moindre changement environnemental.
La reine avait probablement décidé de quitter le nichoir après avoir senti un changement que les humains étaient incapables de remarquer.
C'était ce que pensait Shizuko. Elle ne pouvait s'empêcher d'être frustrée et inquiète à ce sujet.
"On peut rien y faire. Oups, le soleil va bientôt se coucher. C'est l'heure de rentrer."
Lorsqu'elle regarda le ciel, le soleil était déjà en train de se coucher.
Dans une forêt, le soleil se couchait plus tôt, si elle ne se dépêchait pas, il ferait si sombre qu'elle ne verrait plus rien.
Après avoir replacé le dernier nichoir, Shizuko retourna au village en courant.
"Si Wittmann était là, je pourrais rentrer même quand il fait sombre… mais là, il est parti à la recherche de sa compagne."
Wittmann, son loup, avait quitté le village car la saison des amours approchait.
Bien qu'elle ignorait si Wittmann reviendrait ou non, Shizuko l'avait laissé partir en souriant.
"S'il ne revient pas, ben… tant pis."
Wittmann était avant tout un animal sauvage, il était inévitable qu'il parte quelque part.
Alors qu'elle avait cette pensée, elle entendit un léger bruissement devant elle. Elle pensa instinctivement que c'était un petit animal qui sortait et bondit légèrement pour l'éviter.
"Qu- !?"
Cependant, ce qui était sorti ne fut pas un petit ou un grand animal, mais un bâton épais.
Shizuko, qui avait déjà sauté, ne pouvait pas changer sa posture.
Elle fut touchée à la cheville et perdit son équilibre.
Elle tomba sur son épaule et roula au sol jusqu'à ce que son dos s'écrase contre un arbre.
"Kof !"
L'impact fit s'échapper l'air dans ses poumons et elle manqua de s'évanouir.
"Héhéhé, c'est une fille."
"Elle a un bon corps, elle se vendra bien."
"Toute seule dans ce genre d'endroit… c'est comme si elle demandait à se faire attaquer."
Ces paroles vulgaires forcèrent Shizuko à garder conscience.
Alors qu'elle tenait son épaule endolorie, elle se tourna vers les voix.
Il y avait cinq hommes qui semblaient être des bandits. Ils avaient des lances, des sabres et des faux d'agriculture.
Des ashigaru qui ont fui un champ de bataille… ?
Sa pensée venait du fait qu'ils ne portaient pas d'armure, indiquant qu'ils étaient probablement des paysans conscrits.
"Oups, n'essaye pas de crier."
Avant que Shizuko n'ait pu dire quelque chose, l'un des bandits pointa sa lance contre sa gorge. Elle pouvait facilement comprendre qu'elle serait tuée si elle poussait le moindre bruit.
"Hé hé hé, j'y ai pas eu droit depuis longtemps. Et si on la goûtait un peu avant de la vendre ?"
Un autre bandit rengaina son sabre et s'approcha de Shizuko en souriant.
Le bandit à l'odeur exécrable tendit la main et s'apprêta à arracher les vêtements de Shizuko.
Mais il disparut au moment où un bruit se fit entendre dans les buissons.
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